
© Christian Dupré Switzerland
Du ciel
Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

© Christian Durpé Switzerland
Du ciel
Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste

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Cette réflexion sur le paysage se décline également à travers des photographies aériennes. Des vues du ciel, l’appareil rivé sur le hublot d’un avion long-courrier. L’image est ensuite travaillée dans le même ordre d’idée: brouiller les pistes et les repères, les confondre, pour mieux se perdre dans ces échappées abstraites. Face à elle, on se demande où on est. On arpente alors un paysage imaginaire.
Texte de Yann Guerchanik, journaliste








